
A la mort de Louis Bouilhet, son ancien camarade de collège Gustave Flaubert écrivit : « En perdant mon pauvre Bouilhet j’ai perdu mon accoucheur, celui qui voyait dans ma pensée plus clairement que moi-même… ». Les lettres de Bouilhet nous introduisent dans le milieu des artistes et des hommes de lettres de la seconde moitié du XIXe siècle. Une correspondance, à sens unique, d’un Normand malheureusement oublié à un Normand universellement célèbre.
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