L’ intérêt constant de Spinoza pour la science n’a rien de ponctuel et d’extérieur à l’oeuvre. Bien au contraire, les catégories de sa philosophie de l’homme, de ses passions et de sa liberté, se nourrissent de la science nouvelle, telle qu’elle apparaît dans la première moitié du xviie siècle. En particulier la notion de « mode » qui sert ici de fil conducteur doit être comprise dans ce contexte de transformation, essentiellement l’introduction de l’algèbre et la réflexion sur l’infini. Un nouveau cadre d’analyse peut alors être mis en place, renouvelant l’analyse du désir dont Spinoza fait l’essence de l’homme.Les variations du désir peuvent donner lieu à une authentique science, une véritable géométrie des passions humaines. Les principes en sont exposés dans l’Ethique.
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